Le témoignage de Raphaël Loir, JURIS DIAGNOSTICS Lens
Retour aux témoignages

 

Se reconvertir pour créer son entreprise à 50 ans, c’est ce que vient de réaliser  Raphaël Loir, nouveau franchisé  Juris Diagnostics, qui vient de démarrer son activité sur le secteur de Lens (Pas-de-Calais). Il témoigne de cette nouvelle aventure entrepreneuriale.

Qu’est-ce qui vous a motivé à créer une entreprise de diagnostic immobilier ?

Raphaël Loir :  J’ai choisi d’entreprendre dans le diagnostic immobilier car ce métier me permet d’avoir à la fois une activité commerciale et une activité technique. Il me permet de plus d’exercer dans un domaine passionnant : le bâtiment. C’est un métier qui comporte de nombreuses facettes et permet à chacun de se spécialiser, à terme, dans une activité qui lui correspond.

Pourquoi avoir choisi la franchise Juris Diagnostics pour créer votre entreprise ? 

J’ai choisi Juris car je recherchais une structure à taille humaine, dans laquelle il est possible de connaître les gens. Je voulais aussi travailler avec des gens qui exercent réellement le métier de diagnostiqueur immobilier. Je recherchais enfin une structure où les possibilités d’évolution existent encore. Ma rencontre avec les responsables du réseau Juris m’a immédiatement convaincu.

Quel élément a été déterminant dans votre choix de devenir franchisé Juris Diagnostics ? 

J’ai retrouvé les valeurs humaines que je recherchais. L’élément déterminant qui a conforté mon choix c’est la cohésion que j’ai pu retrouver lors de mon arrivée chez Juris. Le partage, l’entraide, le soutien sont des valeurs qui me caractérisent et dans lesquelles je m’épanouis pleinement.

Un changement de carrière : quel âge avez-vous et quels conseils voudriez-vous donner à ceux qui sont encore en réflexion ? 

J’ai 51 ans et je dirais simplement : "lancez-vous !". Si vous hésitez à partir vers l’inconnu, dites-vous que l’équipe de Juris sera présente à vos côtés pour vous conseiller et vous accompagner tout au long de cette belle aventure. C’est possible, je l’ai fait.

Retour aux témoignages